Fleuriste jardinerie Soulac sur Mer Géographie
La ville de Soulac se situe dans le nord-ouest du département de la Gironde, dans l'ancienne province de Guyenne et la région du Médoc. Elle se trouve à quelques encablures de la pointe de Grave, laquelle marque l'extrémité septentrionale des Landes de Gascogne. Son littoral se trouve sur la Côte d'Argent. Il est constitué de vastes plages de sable bordées de dunes. Une partie de la commune est couverte de pinèdes, tandis que des marais bordent son extrémité orientale. La commune possède deux façades maritimes : l'une sur l'océan Atlantique, l'autre sur l'estuaire de la Gironde.
Localisation
La ville est située sur le littoral Atlantique, à environ 90 kilomètres au Nord-ouest de la préfecture régionale, Bordeaux, 110 kilomètres du bassin d'Arcachon et environ 10 kilomètres de Royan, de l'autre côté de l'estuaire de la Gironde, dans le département de la Charente-Maritime.
Hydrographie
Quartiers, lieux-dits et hameaux
Les principaux lieux-dits sont Jeune-Soulac, l'Amélie, Les Cousteaux.
Communes limitrophes
La commune est limitée au nord par Le Verdon-sur-Mer, à l'est par Talais et au sud par Grayan-et-l'hôpital. De l'autre côté de l'estuaire de la Gironde, la commune est limitrophe de celle de Meschers-sur-Gironde, en Charente-Maritime.
Axes de communication
Le territoire communal est traversé par la D1215, qui est le principal axe routier traversant le Médoc. Cette voie permet de relier d'une part la métropole régionale, Bordeaux, d'autre part d'accéder au port du Verdon, où un bac fait la navette vers Royan.
La D101, quant à elle, permet de rejoindre le sud du département, dont les stations balnéaires de Hourtin, Lacanau, et au delà, le bassin d'Arcachon.
Toponymie
Devise
La devise qui figure sur les armes de la ville est : « Ex arena rediviva surgit »
( « Elle surgit du sable et revit » ).
Histoire
Soulac-sur-Mer est la plus ancienne station balnéaire du Médoc.
Cette ville, dont les origines remontent à l'époque romaine, fut un important centre de pèlerinage durant le moyen-âge, avant d'être ensevelie par les dunes, poussées par les forts vents venus de l'océan.
Partiellement reconstruite vers la fin du XIXe siècle, la ville offre depuis lors un centre-ville piétonnier, bordé de maisons et de chalets témoignant de l'architecture balnéaire et convergeant, vers la plage d'une part, vers la basilique, classée patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, d'autre part.
Sur une plage de la commune, en 1989, est retrouvée une statue en laiton d'un sanglier, qui a servi d'enseigne à des Gaulois[1]. Elle est conservée au musée d'art et d'archéologie de cette commune. Une copie de reconstruction est réalisée par le musée central romain-germanique à Mayence.
|